Alors, oui pour la mousse (hic!)
A savoir que mon astuce ne fait qu’aider:
1) Si injectée avant la casse lors de la construction: diminuer le risque de casse sur un choc « banal »
2) Après une casse (mon cas): Aider à avoir un support permettant de poncer en forme la partie du fuselage et aussi jouer le rôle d’amortisseur en cas d’atterro un peu fort.
Je rappelle que dans mon cas, seul le cône d’hélice à tapé le sol, le fuselage à touché le sol après avoir cassé lors de l’impact du nez. Zone faible et propagation de l’onde de choc 
@+
Fred
Modéliste généraliste en tout et spécialiste en rien 🙂